Le cinéma brésilien se porte bien

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Le Brésil a connu une hausse importante dans son économie et est sélectionné  parmi les cinq premières économies de la planète.

Cette hausse en économie était certainement bénéfique pour des divers secteurs notamment le cinéma brésilien, qui connait  en ce moment une période d’évolution avec une production moyenne de 100 films par an.

Le cinéma brésilien traverse  un sucées international et une amélioration ces derniers années. Cette amélioration est la preuve de 14 films, au 6e Festival du cinéma brésilien de Montréal, qui a était présenté jusqu’au 6 décembre au Cinéma du Parc.

Le choix du film d’ouverture de 6e Festival du cinéma brésilien de Montréal était fait sur une grosse comédie populaire au Brésil qui a connu un succès depuis sa sortie en aout. « C’est un des films les plus populaires de tous les temps au Brésil, déclare  Yuri Berger, programmateur de l’événement. Il a tout écrasé au box-office.»

Cinéma brésilien

 

Cinéma au Brésil

Intitulé Até Que a Sorte nos Separe (Until Luck Do Us Part), le film qui appartient à la catégorie comédie raconte  l’histoire d’un père de famille qui a gagné au loto (et tout perdu, évidemment).

Le choix de la catégorie de film d’ouverture n’était pas un hasard, ajoute M. Berger. Le festival a choisi de diversifier sa programmation afin de  répondre aux besoins de la communauté brésilienne de Montréal.

D’autres films, ont connu de même un grand succès notamment le film intitulé  O Palhaço (The Clown) et le film biographique Heleno  qui met en vedette la super vedette du cinéma brésilien Rodrigo Santoro, qui fait carrière à Hollywood (Charlie’s Angels, 300, Love Actually).

The Clown  est un film comédien  doux  sur un clown en crise existentielle et qui raconte la descente aux enfers d’un célèbre joueur de foot brésilien des années 40. Ce dernier  est le candidat du Brésil pour le prochain oscar du film étranger.

 

O Palhaço (The Clown)

 

O Palhaço (The Clown)

 

Le festival était tellement riche et varié, il avait aussi d’autres  films plus «exigeants» comme Captaès de Areia ; une histoire de l’écrivain Jorge Amado, The Sky Above ou A Cadeira do Pai (Father’s Chair).

Des films  classiques ont aussi pris leurs places, comme O Bandido Da Luz Vermehla (The Red Light Bandit).

Pour les amateurs des films documentaires, en citant  Rio Disco, ainsi «glamoureux», et Tropico de Saudade, ces films parlent des  aventures amazoniennes de l’anthropologue Claude Lévi-Strauss.

Yuri Berger déclare que la production de films brésiliens est devenu importante , non seulement en quantité mais aussi en qualité . Elle est devenue la plus importante  en Amérique latine . Ça a évolué avec la hausse de l’économie, mais aussi avec la grosse demande et le besoin des Brésiliens à voir des films brésiliens. « Les brésiliens ont de plus en plus envie qu’on leur raconte leur propre histoire…» , Ajoute Yuri Berger.

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